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Le Joint Express (version light)

Le cannabis pourrait tuer le cancer

Il y a un peu moins d’un an, le HuffingtonPost.fr se faisait l’écho d’une étude menée par des chercheurs britanniques estimant que dans le cas de certains "Cancers : des composants purifiés du cannabis peuvent détruire les cellules malades".
En effet, quand on s’y connait un peu en matière de bonnes pratiques avec les cannabinoïdes en médecine, on sait qu’ils favorisent l’Apoptose, c’est à dire qu’ils obligent la cellule cancéreuse à mourir.

Remerciements à l’UFCMED qui a rassemblé les principales études qui démontrent ces propriétés pharmacologiques prêtes à bouleverser la médecine moderne (Cliquez-ici).

Des composants purifiés du cannabis

L’étude s’est penchée sur les effets de six cannabinoïdes non psychoactifs différents — des composés dérivés de la marijuana qui ne donnent pas l’impression de "planer", habituel avec le THC, la molécule la plus connue contenue dans le cannabis — utilisés seuls puis combinés, sur les cellules leucémiques. Ces cannabinoïdes ont alors montré "un panel divers de qualités thérapeutiques" qui "visaient et bloquaient" les voies permettant aux cancers de se développer, détaille Liu au U.S. News & World Report.

Dans un entretien avec Le HuffPost, Wai Liu a mis l’accent sur le fait que ses recherches s’étaient faites avec six formes purifiées de cannabinoïdes — et non pas avec l’huile de cannabis traditionnelle, que cet oncologue décrit comme étant "brute" en comparaison et pouvant contenir entre 80 et 100 cannabinoïdes différents. "On ne sait pas vraiment quelles sont celles qui seront anti-cancer et celles qui pourraient être néfastes", explique-t-il.

Au cours de cette étude, Liu et son équipe ont cultivé en laboratoire des cellules leucémiques qu’ils ont ensuite mises en contact avec des doses des plus en plus fortes des six cannabinoïdes purifiés. Ces formes de cannabinoïdes étaient les suivantes : le cannabidiol (CBD), l’acide cannabidiolique (CBDA), le cannabigerol (CBG), l’acide cannabigerolique (CBGA), le cannabigevarin (CBGV) et l’acide cannabigevaric (CBGVA). L’équipe a ensuite analysé la viabilité des cellules leucémiques puis déterminé si, oui ou non, ces cannabinoïdes avaient détruit les cellules ou empêché leur développement.

http://www.huffingtonpost.fr/2013/10/27/cancer-composants-purifies-cannabis-detruire-cellules-malades-etude_n_4167672.html

Pauvre France !

Comme si le nouveau test de dépistage allait diminuer le nombre d’accidents mortels causés par les médicaments légaux qui ne sont pas recherchés (Cf. ci-après la liste après la photo de Donald et Dingo) ! Et quel test empêchera les accidents causés par les conversations téléphoniques, causant deux fois plus d’accidents mortels que le dépistage positif du cannabis. Plutôt que de subir cette forme de racket, mieux vaut demander une prise sanguine pour établir la preuve depuis quand date la dernière consommation.

Mais que feront-ils quand il y aura la moitié de la France positive au cannabis, parce qu’elle en fera un usage médicinal notamment contre le Cancer, etc...

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2014/08/27/97001-20140827FILWWW00384-cannabis-de-nouveaux-tests-sur-les-routes.php

Solution efficace : Kanacleaner

Pour s’épargner trop de tracas, mieux vaut utiliser un masquant... comme ce spray buccale, et à défaut une solution pour l’hygiène buccale, voir tout simplement se rincer la bouche avec de l’huile d’olive...
Mais comme disait Jospin en 2002, "mieux vaut ne pas consommer avant de prendre le volant", à quoi il faut ajouter aujourd’hui "mieux vaut une prise de sang pour déterminer précisément la date de votre dernière consommation que de subir un test salivaire de dépistage qui vous condamnera obligatoirement"

http://kanacleaner.com/

Le bigot Lebigot dans LeFigaro.fr

A quoi pouvait-on s’attendre en lisant les propos de l’unique et inébranlable, Serge Lebigot, interrogé par une journaliste perfide du Figaro sur le thème "Pourquoi la légalisation du cannabis n’est pas la bonne solution ?"... juste de poser la question ainsi, c’est déjà admettre que la légalisation peut-être une BONNE solution !
Mais c’est à la lecture des commentaires des internautes qu’on se régalera...

Extraits choisis

Raph Carr

Il est vraiment incroyable de retrouver éternellement cette même argumentation par laquelle les prohibitionnistes se tirent avec constance une magnifique balle dans le pied.
Car en admettant que leurs exagérations sur la dangerosité du cannabis soient fondées, comment peuvent-ils en tirer prétexte pour continuer à en abandonner le contrôle excusif aux trafiquants, qui sont libres de vendre n’importe quoi n’importe où, n’importe quand et à n’importe qui ? Quelle inconséquence coupable !
N’est-il pas plutôt urgent d’exercer un contrôle social le plus complet et le plus étendu pour limiter au maximum les risques liés à l’usage de cette drogue prétendument si dangereuse ? À savoir : en encadrant et réglementant strictement sa production, son commerce et sa vente ; en contrôlant sa composition et sa qualité, indiqués avec précision sur l’étiquette, afin d’informer au mieux l’usager majeur et responsable ; en édictant des interdictions sensées et cohérentes (au volant, dans l’espace public), pertinentes donc respectables, plutôt qu’une interdiction totale inapplicable ; en cessant donc de gaspiller en pure perte des fonds publics destinés en grande majorité à une répression inefficace, au détriment d’une véritable politique de prévention.
Le 31/07/2014 à 23:38

Et un dernier pour la route avec...

Sue Ellen

La stupidité des propos de l’auteur n’a d’égale que son ignorance crasse, le cannabis est une plante médicinale qui comme tout médicament, a des effets secondaires. Presque chaque jour une nouvelle étude scientifique vient montrer que l’huile de cannabis permet de soulager des symptômes/traiter/guérir des maladies allant du cancer à l’épilepsie en passant par la dépression, et j’en passe. Peut-être ce monsieur ne sait-il pas lire l’Anglais, et peut-être ne sait-il pas que le gouvernement US a déposé un brevet (n°6630507) sur les cannabinoïdes en tant qu’antioxydant et neuroprotecteur, et que le département de la santé a même publié une longue liste des vertus thérapeutiques du cannabis. De plus, il a été prouvé que consommé de manière raisonnable, le cannabis augmentait les capacités cognitives, et il n’empêche en rien de mener une vie professionnelle et familiale épanouie. Et c’est le marché noir qui fait que les jeunes ont accés aux drogues dures, et non un lien de cause à effet à imputer au cannabis. Avec des coffee shops, les plus jeunes et parfois les plus vulnérables des consommateurs ne seraient pas exposés au risque de se voir proposer "un truc plus fort qui déchire", mais plutôt au risque de tomber sur une brochure de prévention quant à l’usage averti et raisonnable des drogues. Allez, un p’tit joint Mr LeBigot ? :D
Le 02/08/2014 à 17:39

http://www.lefigaro.fr/vox/societe/2014/07/30/31003-20140730ARTFIG00141-cannabis-pourquoi-la-legalisation-n-est-pas-la-solution.php

Le mouv’ dépote

Petit aperçu d’une exposition qui détourne l’imagerie Disney... Et si les princesses aux cœurs brisés se consolaient devant une bonne bouteille, pendant que leurs princes charmants se passaient la bague au doigt ?

Ce n’est pas la première fois que José Rodolfo Loaiza Ontiveros détourne l’univers de Disney. Il avait déja réalisée une série très pop mais aussi très sombre, Disasterland.

http://www.lemouv.fr/article-quand-disney-devient-rock-n-roll

Pour le cas ou vous seriez totalement opposé à l’usage du cannabis, y compris pour des personnes qui l’utilisent pour se soigner, car vous pensez qu’il risque d’y avoir plus d’accidents.

Voici la liste des médicaments qui peuvent avoir un effet sur la conduite automobile, mais qui ne sont pas recherchés dans le cas des accidents mortels !

Antalgiques opiacés : codéine + aspirine
SÉDASPIR
Antalgiques opiacés : codéine + ibuprofène (AINS)
ANTARÈNE CODÉINE
Antalgiques opiacés : codéine + paracétamol
ALGICALM
ALGISEDAL
CLARADOL CODÉINE
CODOLIPRANE 400 mg/20 mg Adulte
CODOLIPRANE 500 mg/30 mg
COMPRALGYL
DAFALGAN CODÉINE
GAOSÉDAL CODÉINE
KLIPAL CODÉINE 300 mg/25 mg
KLIPAL CODÉINE 600 mg/50 mg
LINDILANE
MIGRALGINE
PARACÉTAMOL CODÉINE ARROW 400 mg/20 mg
PARACÉTAMOL CODÉINE ARROW 500 mg/30 mg
PARACÉTAMOL CODÉINE BIOGARAN 500 mg/30 mg
PARACÉTAMOL CODÉINE CRISTERS 500 mg/30 mg
PARACÉTAMOL CODÉINE EG 500 mg/30 mg
PARACÉTAMOL CODÉINE MYLAN 500 mg/30 mg
PARACÉTAMOL CODÉINE SANDOZ 500 mg/30 mg
PARACÉTAMOL CODÉINE TEVA 500 mg/30 mg
PRONTALGINE
Antalgiques opiacés : dihydrocodéine
DICODIN
Associations antalgiques et/ou antipyrétiques avec opioïde
LAMALINE
NOVACÉTOL

Antalgiques opiacés : tramadol
BIODALGIC Générique
CONTRAMAL
CONTRAMAL LP
MONOALGIC
MONOCRIXO
MONOTRAMAL
OROZAMUDOL Générique
TAKADOL
TOPALGIC
TOPALGIC LP
TRAMADOL ACTAVIS LP Générique
TRAMADOL ARROW Générique
TRAMADOL ARROW LP Générique
TRAMADOL BIOGARAN Générique
TRAMADOL BIOGARAN LP Générique
TRAMADOL CRISTERS LP Générique
TRAMADOL EG Générique
TRAMADOL EG LP Générique
TRAMADOL EVOLUGEN Générique
TRAMADOL MYLAN Générique
TRAMADOL MYLAN PHARMA LP Générique
TRAMADOL RANBAXY LP Générique
TRAMADOL RATIOPHARM Générique
TRAMADOL SANDOZ Générique
TRAMADOL SANDOZ LP Générique
TRAMADOL TEVA Générique
TRAMADOL TEVA LP Générique
TRAMADOL ZENTIVA Générique
TRAMADOL ZENTIVA LP Générique
TRAMADOL ZYDUS Générique
TRAMADOL ZYDUS LP Générique
ZAMUDOL LP
ZUMALGIC 100 mg
ZUMALGIC 50 mg Générique
Antalgiques opiacés : tramadol associé au paracétamol
IXPRIM
TRAMADOL/PARACÉTAMOL ACTAVIS Générique
TRAMADOL/PARACÉTAMOL ARROW Générique
TRAMADOL/PARACÉTAMOL BIOGARAN Générique
TRAMADOL/PARACÉTAMOL CRISTERS Générique
TRAMADOL/PARACÉTAMOL EG Générique
TRAMADOL/PARACÉTAMOL EVOLUGEN Générique
TRAMADOL/PARACÉTAMOL KRKA Générique
TRAMADOL/PARACÉTAMOL MYLAN PHARMA Générique
TRAMADOL/PARACÉTAMOL PHR LAB Générique
TRAMADOL/PARACÉTAMOL RANBAXY Générique
TRAMADOL/PARACÉTAMOL SANDOZ Générique
TRAMADOL/PARACÉTAMOL TEVA Générique
TRAMADOL/PARACÉTAMOL ZENTIVA Générique
TRAMADOL/PARACÉTAMOL ZYDUS FRANCE Générique
ZALDIAR

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